Chaque année, Logistec s’assure que plus d’un million de tonnes de charbon et de coke de pétrole en provenance de navires auto-chargeurs au quai international de Sydney soient acheminées de façon sécuritaire vers des centrales thermiques sur l’île du Cap-Breton.

« Nos clients, nos employés, nos communautés et nos parties prenantes sont aussi sensibilisés à l’environnement que nous le sommes, et nous partageons leur désir de profiter des avantages conférés par un environnement sain. En plus de demeurer à l’affut des exigences environnementales et des avancées technologiques, Logistec s’assure d’utiliser des méthodes de contrôle rigoureuses et de l’équipement de surveillance de pointe pour optimiser ses opérations », a commenté Robert Kazamel, directeur général chez Logistec pour le quai international de Sydney.

Nous utilisons des paravents, des lances brouillard et un système d’élimination des poussières diffuses par l’utilisation de mousse lorsque nous transférons le charbon d’un navire à un camion ou à un wagon, afin que nos opérations soient le plus écologique possible Les piles de stockage sont entourées d’une série de circuits d’aspersion contrôlés par ordinateur et l’eau de ruissellement est soigneusement gérée dans des bassins de décantation.

« Nous sommes très fiers de notre service à la clientèle et, dans ce cas-ci, notre client requérait des services de manutention, de gestion de terminal, de camionnage et de transport ferroviaire sur courte distance sur 22,5 kilomètres », a ajouté monsieur Kazamel. « En tout temps, plus de 240 000 tonnes de marchandises en vrac sont entreposées à notre terminal à Sydney. Le système de chargement actuel comprend un chargeur de navire radial et télescopique minimisant les mouvements des navires à quai et le nivelage des cargaisons dans les cales, ainsi qu’une boucle ferroviaire surélevée doté d’un système de récupération du charbon. »

Outre ses activités au quai international de Sydney, Logistec manutentionne du charbon à partir de navires océaniques de gros tonnage dans d’autres installations de son réseau de plus de 30 ports et terminaux sur la côte est de l’Amérique du Nord.

« Certaines entreprises transforment actuellement leurs installations, soit parce que le prix des matières premières (telles que le gaz) est à la baisse ou pour se conformer à la règlementation révisée sur l’énergie renouvelable. En Europe et en Ontario, par exemple, un bon nombre de centrales thermiques alimentées au charbon ont été transformées pour accommoder la biomasse », a commenté George Di Sante, vice-président du développement de marchés chez Logistec. « Nous manutentionnons des marchandises en vrac depuis plus de 60 ans et nous devons continuellement nous adapter aux besoins de nos clients. Indépendamment des matières premières qu’ils choisissent, nous nous assurons de toujours offrir le même niveau de service, pour qu’ils puissent se concentrer sur leurs nouvelles perspectives commerciales. »

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